Rappel du premier message :

Bonjour
Petit sondage pour ceux qui sont migraineux .
Avez vous le maitre de 1 saturnisé( par aspect fort conj, carre oppo ) ou bien le maitre d 'ascendant en capricorne ou encore saturne à l'ascendant .
je ne prends pas en compte l'ascendant en capricorne
merci:D

coucou Poussière d'Étoiles ............

Je suis dès vôtre ........ car j'avais ces migraines jusqu'à la ménaupose .............
J'ai Vénus natale (en IV, Capricorne ) comme maître d'ascendant

en aspect au maitre de l' peut obstruer des conduits de la tête (orl)
ralentir le métabolisme et amener les migraines

Perso, j'ai maitre d' bien aspecté,, je ne suis pas sujet aux migraine

Ma mère est une grande migraineuse, du coup je suis allée voir son thème.

Asc en Sagittaire (signe feu avec Jupiter comme maître) ; Jupiter et Saturne en Capricorne.
Asc Conjoint à la lune qui est maitresse de la maison 8.
Mars est en Verseau.

Du coup, l'Asc est saturnisé ou non ?

Oui Solide ! Le maitre d' en

OK merci Céleste et j'espère que ce sera utile à poussière d'étoile !!

merci lapis lazuli , oui maityre d 'ascendant saturnisé et en chute la totale
Il est averé que les gens qui ont le maitre d 'ascendant en chute on régulirement des problèmes de santé ou une jambe de travers façon de parler
merci

Petit retour (que j'ai complètement zappé) ; la semaine où Mars était de passage sur mon Jupiter natal en MXII, j'ai eu 4 maux de tête.
Je n'avais pas de soucis en particulier à ce moment-là, pas de turlupinades, mais un fond de fatigue que j'allais qualifier d'assez habituel.

Bonjour , je voulais juste dire que l'herbe numero une pour les migraines est une plante nomme tanacetum parthenium. Et ca depuis des millenaires...
Le grand herbaliste astrologue Culpepper le savait.

recemment le dr. Peter Hylands, a fait un test sur 17 patients souffrant de migraine chronique. dont 8 etaient suivi avec un placebo et les autres on pris l'herbe tout les jours. Ils ont tous eu moins d'attaques que le premier groupe.

Bien entendu, les pharmacologues se sont precipite sur la plante pour y faire leur chepaquoi et isoler tout pleins de substances avec des noms super ennuyeux. Ils ont trouves 5 composants qui sont des sesquiterpene lactones (mon dieu c'est fascinant ca), ceux ci relachent des prostaglandins et de l'histamine pour combattre l'inflammation et les spasmes des vaisseaux sanguins dans la tete.

Mais voila, comment encore re-inventer la roue encore une fois, salaire justifiant ...
Meme si les pharmacologues pensent en isolant et manquent de verseau, donc ils ne voient comment la plante est parfaite dans l'ensemble. Il faut pas juste prendre les parties actives et rejetter le reste, il faut prendre la plante entiere.

Partie sans mes 2 centimes traduit du meilleur livre sur l'herbalisme (un des meilleurs) Medical Herbalism de David Hoffman page 370.

PS dans le meme livre. Des que l'attaque arrive mettre qq gouttes d'huile essentielle de lavande (c'est une plante relaxante avant tout) a masser sur les temples. Prendre 125g de la plante seche (tanacetum) une fois par jour de maniere preventive. Eviter la bouffe a amines vasoactives (fromage, chocolat, oeufs, farine, cacahuetes, tomates, viande rouge, alcool).
PPS Il faut ajouter du gingko pour renforcer les vaisseaux sanguins.
PPPS Mrs Nalda Gosling FNIMH (un des meilleurs herbaliste en angleterre) donne la formule suivante : motherwort, vervain, pissenli racine, centaury, wild carrot...melange en parts egales et prendre 25g du melange a faire bouillir (oublie le bon mot) dans un demi litre d'eau pendant 15 minutes. On voit la preponderance d'herbe hepatiques et amer donc les herbalistes choisissent de traiter le foie en meme temps que les migraines...

Desole si j'ecris bcp, ca me permet de reviser.
Je sais qu'on doit vivre avec ses demons du theme natal mais on peut au moins essayer de les calmer et faire en sorte qu'ils n'empiettent pas trop dans nos vies avec les plantes.

contre des migraines, j'ai apprécié l'usage de l'huile essentielle de lavande fine:
en ma massant sur les tempes - cela m'a soulagé

je ne suis pas trop sujette aux migraines d'habitude - ce n'est peut-être pas une "vraie" migraine - je pense que c'est dans le cadre d'un burn out il y a un mois ou 2... juste une réaction du corps qui veut dire "stop"

en tout cas cela a calmé la douleur...!

Je n'ai jamais été sujet à la migraine dans ma vie mais il m'arrive depuis ces dernières années, heureusement pas souvent, d'être sujet à ce qui a été diagnostiqué comme une "migraine ophtalmique" avec aura.

Autrement dit, j'ai des visions, ça s'appelle "scotomes" (heureusement ça ne dure pas et c'est rare) comme si j'avais gobé trois buvards de "LSD"... Dingue! C'est très flippant.

La première fois, je croyais que je faisais un avc.

Et puis ça passe...

Est-ce que ces migraines ophtalmiques sont apparues lorsque le carré Uranus/Pluton prenait en tenaille ton Mars natal, soit grosso modo au 1er trimestre 2014 ?

C'est très possible Navanne. Je n'avais jamais rien eu avant ça.

2013 ou 2014, ça doit être ça mais quand avec exactitude, je ne sais pas. C'était léger. Et assez furtif.

Mais c'est revenu voici deux ans plus ou moins 2016, 2017. Et là, tout dernièrement il y a 10 jours.

En céleste, Mars est très uranisé depuis quelques temps. Il était par ailleurs dissonant à ton Uranus natal il y a une dizaine de jours. Mars maîtrise ta MVI et Uranus vient d'y entrer. Ça fait ricochet.

Mais en fait, faut pas chercher à comprendre... T'es juste touché par la lumière. Littéralement. C'est ce que je me dis quand j'en ai une

C'est de la migraine Monsanto, si ça tombe...

Pour qui cultive l'esprit mauvaise herbe, perdurera l'art d'heure des jolis mots de tête... Je passe le roundup, tout ce que je pourrais ajouter ne sera que compost

Cultiver la mauvaise herbe pour dans son coin gentiment la fumer occasionne effectivement de sérieux mots de tête (bravo!)

Je reprendrais bien un peu de ta compost de pommes

Maldoror a écrit:

Cultiver la mauvaise herbe pour dans son coin gentiment la fumer occasionne effectivement de sérieux mots de tête (bravo!)

Ça, c'est l'herbe qui débranche la cervelle pour joindre entre 2 volutes de fumée les effets de l'âme-agie.

Citation :

Je reprendrais bien un peu de ta compost de pommes

Reprends-en un peu, il m'en reste assez pour repaître ta pense. Reprends donc un peu de ces confits denses naturelles recueillies à l'aube des jours si mots roses piqués d'une laide heure amère à faner.

Tandis que le soleil golden est encore à la ramasse, je me lève de bonheur à reculons pour végéter près de la mare guérite.
C'est un endroit secret, un peu pommier entre ciel et terre, qui terrasse bien des mots psychés d'élites sous ses airs de rien. Faut être un peu au ras des pâquerettes pour capter... Rien que l'idée acide de m'y reposer me fait saliver les papillons haut-en-couleur.

Je glisse le nez au vent à cette promesse de légèreté à-venir, ma compost se mue ris toujours aérienne et mousseuse.
Je virevolte électrique portée par une rosée du matin qui m'étoffe un hêtre qui a plié dans la nuit passée sous des maux étouffants et pensées trop sensées.
Une rosée qui m'étreint, m'auréole dans une caresse laissant éclore l'esprit pink lady. Par delà ce que je crois être, dans un murmure qui s'étire tant bien que mal, là, le ciel grandit en moi. Je ne cours pas, ne m'empresse plus sur le chemin de la mare guérite puisque, en fin de conte, je ne me panse plus très loin de moi.
C'est doux, sucré, parfumé. Putatin, ça me colle au corps et au dedans. Et parce que le temps est court, l'art d'heure s'impose en faim de soi.

Arrive alors le moment où avec un arbre, on se choisit. On se reconnaît entre vieux bout de bois tordus... Force de la nature, il est ancré aux entrailles d'une terre qui en a assez. Forte de la rature, j'encre des lignes arrimés à mon âme brouillonne.
Je m'adosse à lui le temps d'une prose, hésitante et maladroite... Je crumble un peu. Hey, passé simple de cuisiner les saveurs d'antan, qu'elles soient dansantes ou d'enfer. Mets si après tout, c'étaient les fautes d'impressions qui donnaient du relief à une compost surnaturelle ?

Peu importe, c'est trop tarte... Nous sommes cyprès que l'écho tatin-tatin de mon cœur fruit-rouge y retentit dans un rythme singulier pour lui qui sait lire entre mes lignes. L'écho facétieux remonte le long de son écorce jusqu'à la cime où la brise le chuchotera face aux cieux, quand les oiseaux curieux dans leurs battements d'ailes ne le feront pas s'envoler au miel.

Entre les nervures qui affleurent sous ma peau rosée, sa force tranquille me revient.
Ça gratte, ça chatouille, ça pépite et crépite là-haut. Il met tant de cœur à l'ouvrage que je m'abandonne à lui.
Il délie mes des lys de lettre en lettre qui file et s'effile dans une gourmandise qui ne manque pas d'air jusqu'à ce que, paf!, touchée par la lumière, ses fruits gorgés de nous me toquent en pleine poire dans un éclair de gène mi-amusée, mi-éclatée.

Des délices dits vers et improbables que je te confis en pensées sauvages.

Bon courage

Et l'écorce souviennent toujours des étreintes passées, malgré les topics compost ici, tout au bout de nos tropiques, Ô trèfles de velours. La nuit, je mens, dors, ma mie, bonsoir, de pain et long commun jour sans.

Des fourmis scelleront comme d'habitude la messe agée, porteuse du bibendum aqueux. Alors même que les poireaux continueront à poiroter dans l'ornière dépourvue de coques pitres. Derniers neveux en date de Brad mère qui avait aussi le bras long (zenfants de la brasserie, le jour de boire est arrivé)???

Bref, les migrantes migraines laissent l'herbe, laissent kif même, pour s'allumer derechef en tes cendres d'accueil innombrables. Abandonnant du même coup tout conflictueux confit aux connards.

*J'ai viré puis reposté mon message pour rectifier 2/3 choses qui me piquaient les yeux. Quelques petits ajouts aussi.*


Mont doux, mont tendre, mont merveilleux... Les cordillères se souviennent de tes chants de blé doré sur l'autre mont. Résonnent en cor les échos fougasses ensemencés au gré des accords nocturnes de chauds pains pétris d'évidences secrètes.
Comment pourraient-ils oublier ? Y arriveraient-ils, le souhaiteraient-ils ?

Comment oublier l'approche tamisée en phare inné et cet amour qui a suivi son cours depuis les draps accueillants du lit ?
Si proches... Un regard qui bat la mesure à l'intérieur, une nouvelle mélodie à la bouche. Ni trop près, ni trop loin pour toujours se rester un peu l'un avec l'autre dans les saveurs épicées de l'absolu et ne jamais se restreindre à l'ordinaire des jours qui vont et reviennent, s'ils ne sont réinventés.
Et puits d’incompréhensions en appréhensions, steppe après steppe, percent les plaines d'hier les pics du midi moi ce qui ne va pas...
Approches, si proches, reproches, l'amour suit son cours d'accord pluriel en désaccord singulier.

Il se délite toujours bien trop tôt, tu le sais mieux que moi... Le pain-blanc est mangé de vertiges divins en vestiges dits vains jusqu'à ce soir des adieux orageux qui tintent la moisson d'une cacophonie silencieuse.
La brise est glaciale, la porte claque dans un éclair au choc, oh là, au fond de soi. Levain acide terrasse le labeur d'un paysan en berne qui gerbe son blé.
Les temps dards n'est plus levé. Sans pays, sans cœur d'attache, c'est l'errance du chemin de croissant avec des montagnes de question dans tes bottes de paille.

Le temps n'emporte rien sous ses pas. Le temps ne peut avoir raison d'une vie tantôt partagée, hélas.
Seulement il s’égrène, inexorable et n'attend que toi. Il refuse les jours sans toi. Ne l'houblons jamais tandis que tu jetteras à la mer des bouteilles vidées au goulot à tour de Brad pour noyer les trêves de vœux devenus si lourds.

Bière, Paul, Jacques trinquent avec toi cul-sec pour oublier sans pression ces temps à chier. Des vers à descendre, une colère à torcher, vous gueulez dans ce bar juste avant d'entrer sur scène.
Vous chantez avec la mélancolie et la rage en choristes. Là, derrière vous, au loin dans vos âmes.
Vous habitez des chansons qui sont vos centres d'accueil. Chaque note transpire cette vie en absolu, toutes ces joies éclatées, ces petites morts surmontées en missionnaire, ces chemins de traverse qui vous ont déposés ici et maintenant.
Vous exultez vos vies pleines et vécues jusqu'à la dernière goutte dans un éclat du tonnerre. Vous êtes beaux, vivants.

Et puis, vous revenez, redescendez galvanisés d'être là. D'exister.
Vous vous chanvrez, riez à kouglof déployé comme des cons pour conjurer je-ne-sais-trop-quoi. Vous refaites le monde afin qu'il ne se fasse pas sans vous, au moins un peu.

De belles et rebelles plantes vous observent, vous guettent sans faucille. Elles vous tournent autour d'un sourire enjôleur, une mèche replacée, quelques regards appuyés qui vous embrasent d’horizons inespérés. OCBeau c'qui s'passe... Vous riez, sans trop y croire. Mais vous riez.

Héroïnes d'un soir ou plus si affinités, je ne sais pas. En suivant son cours, l'à-venir vous le dira, les gars... Et oui, elles s’approchent.

Comme un "vulgaire" talus, tu m'as terrassé...

Je reviendrai à ce casse-tête chinois qui sa pelle (-------> terrassement) maigraine plus tard et j'espère que le jeu en vaudra les 36 chandelles...

"Quand ta femme a la migraine, propose lui lui la graine entière" (Proverbe maldorien)

salut Poussière, je n'avais jamais, jamais eu de migraine avant la naissance de ma deuxième fille, depuis..tous les mois avec une régularité absolue
Maitre ascendant Vénus en 3...en capricorne

Maldoror a écrit:

Comme un "vulgaire" talus, tu m'as terrassé...

Je reviendrai à ce casse-tête chinois qui sa pelle (-------> terrassement) maigraine plus tard et j'espère que le jeu en vaudra les 36 chandelles...

Talus ce que j'ai écrit ? Relève-toi, relève-toi, plutonien

Contente que mon texte t'ai plu, même très contente... C'était cadeau.
Après, il n'y a aucune obligation à y répondre, hein, pour que le jeu reste plaisir et sans prise de tête. Tu fais comme tu le sens. Ça sera pareil de mon côté.
Tu maîtrises le truc, largement, avec une force d'évocation plus puissante. Je ne fais que m'appuyer sur tes lignes pour dérouler une histoire.
En tout cas, ça m'a fait du bien d'écrire ces petits textes éclatés. Vraiment. Merci de m'y avoir emmené et accompagné.

Citation :

"Quand ta femme a la migraine, propose lui lui la graine entière" (Proverbe maldorien)

J'attendais avec impatience le moment où tu allais nous offrir un de ces grands mots d'esprit dont tu as le secret sur ce genre de situation

Bonsoir
Migraines nocturnes qui me réveillent...
Saturne en 1

essaie le rescue si tu en as (fleur de Bach).

cela avait marché pour les insomnies d'une amie suite à une séparation.

Bonjour ileautresor
Ça se trouve où et ça se prend comment ?